Je suis la section chapeau. Je n'ai pas de titre. Mon corps de texte est en gras.
Dans la presse, le chapô est l'introduction-résumé d'un article.
Vous pouvez m'utiliser dans cet état d'esprit => une intro qui peut expliquer ce que contient le reste de la page.
Vous aussi m'utiliser à d'autres endroits.

Dans cette page

Je suis la section "Texte seul"

Ici c'est mon sous-titre, au cas où vous en auriez besoin...

J'ai aussi un chapeau, si vraiment vous avez besoin de mise en valeur différentes à ce niveau...

Et là on attaque mon corps de texte. Dans cette partie, on peut également faire de la mise en valeur de mon contenu surtout s'il est long.

Titre 2 à 6 (T2)

J'ai 5 niveaux de titres pour mettre en forme cette hiérarchie de l'information

Effets de mise en forme (T6)

Mon éditeur de texte est assez classique : 

  • gras
  • italique
  • souligné
  • barré
  • puces
  • et autres encore, on se connait à peine, je ne vais pas tout vous dévoiler...

 

Le conseil municipal

Je suis la section image + texte

Mon corps de texte est identique à toutes mes sœurs "section statique" ayant une composante texte.

En tant que section "Image + texte" j'ai un gabarit d'affichage de vos contenus prédéfini : d'un côté l'image de l'autre le texte...
c'est assez simple à comprendre, et c'est plus simple pour vous pour la "mise en page".

Je vous l'avoue, j'ai un petit inconvénient blush
Si votre texte est plus long que la hauteur de votre image...
et bien une fois que celui-ci aura dépassé l'image, il viendra prendre place en dessous d'elle.

Je vous parie dans plus de 75% des cas, vos lecteurs vont commencer leur lecture dans la colonne en dessous de l'image et non pas dans la colonne qui contient le début du texte !

Comme nous sont nombreuses, vous avez plusieurs alternatives par la famille sections statiques :

  • la section texte + image
  • la section 2 colonnes, où là le texte de la colonne 2 restera dans cette colonne et cherchera pas à venir dessous l'image

Je ne suis pas encore assez bavarde pour vous prouvez par l'exemple ce que donne un texte plus long que la hauteur de l'image.
Etant un peu paresseuse, je vais aller emprunter du texte ailleurs et je reviens...

Ce simulateur vous indique combien de temps conserver les documents de la vie courante (assurance, banque, famille, impôts, logement, travail, véhicule, santé...).

Les durées indiquées sont des durées minimales durant lesquelles il est prudent de garder les documents. Vous pouvez bien sûr garder vos documents plus longtemps.

Vous voyez c'est pas top pour la lecture ainsi angel

Ah, j'ai oublié de vous dire que l'on peut aussi mettre un lien interne ou externe sur l'image, vous avez peut être déjà essayé ?

Je suis la section texte + image

Je suis la section texte + image

Vous avez compris le principe que vous a expliqué ma sœur précédemment...

Dans les choses que l'on ne vous pas encore dites, notre éditeur de texte a une fonction correcteur d'orthographe intégré. Comme il est timide (ou tire au flanc ?), il n'est pas actif par défaut, il faut lui cliquer dessus pour qu'il se mette au boulot.

Je vais chercher du texte supplémentaire pour poursuivre la démo précédente.

Les paroles de la chanson "Alcaline" de Christophe évoquent une atmosphère poétique et introspective, mêlant des images évocatrices telles que des bateaux, des rasoirs, une plage alcaline, et des références symboliques comme le Temple d'Angkor. La chanson semble traiter de thèmes liés à l'amour, à la séparation, et à la complexité des émotions, avec une tonalité à la fois douce et mélancolique.

Les paroles mentionnent notamment :

Une proposition d'aide ("Si tu veux j'peux t'aider") et une expression de lourdeur ressentie.
Des images de bateaux démontés et de rasoirs, symbolisant peut-être des ruptures ou des blessures.
La métaphore d'une plage alcaline, qui pourrait représenter un lieu d'apaisement ou de réflexion.
Des références à la géométrie et à des pensées profondes, illustrant la complexité intérieure.
La répétition de questions sur ce que l'autre personne veut ou ne veut plus, notamment sur les mots et les sentiments.
Les paroles sont également présentes dans différentes versions, avec quelques variations dans le texte, mais le thème central reste une exploration poétique des relations et des émotions.

Une proposition d'aide ("Si tu veux j'peux t'aider") et une expression de lourdeur ressentie. Des images de bateaux démontés et de rasoirs, symbolisant peut-être des ruptures ou des blessures. La métaphore d'une plage alcaline, qui pourrait représenter un lieu d'apaisement ou de réflexion. Des références à la géométrie et à des pensées profondes, illustrant la complexité intérieure. La répétition de questions sur ce que l'autre personne veut ou ne veut plus, notamment sur les mots et les sentiments. Les paroles sont également présentes dans différentes versions, avec quelques variations dans le texte, mais le thème central reste une exploration poétique des relations et des émotions.

image

Je suis la section 2 colonnes : usage 1

Ma cousine, la section image + texte vous a dit que vous pouviez compter sur moi pour qu'un texte plus long qu'une image ne vienne voir sous sa jupe !

Je vais cherche du texte long pour vous faire la démo....

Le lien hypertexte propose une conception tout autre, non centralisée. Comme lors de la confrontation entre le réseau centralisé des opérateurs de télécom et le réseau décentralisé de l'ARPA, ce sont deux conceptions de l'ordre documentaire qui s'affrontent lors de la naissance au web. Avec le web, il n'est pas nécessaire de classer les informations en les rangeant dans les bons tiroirs – comme on le fait encore lorsqu'on dépose les documents dans les dossiers de son disque dur. On peut tout simplement renoncer à les classer et préférer donner à l'utilisateur les moyens de naviguer d'un document à un autre en suivant les liens que les documents ont tissés entre eux. Le classement ne vient pas d'en haut. Il n'est pas conçu par des documentalistes omniscients. On laisse, au contraire, l'auteur de chaque document définir quels sont les autres documents de son voisinage. L'internaute n'a qu'à suivre, de saut en saut, les idées que les textes échangent entre eux à travers leurs liens. Ce sont les documents eux-mêmes – donc ceux qui les écrivent – qui décident de leur classement. Le web hérite ainsi de l'esprit libertaire d'internet.

Le pouvoir donné à chaque internaute qui crée un site web de le relier comme il le souhaite à d'autres sites est à la source de l'auto-organisation des communautés en ligne, de la dynamique des innovations ascendantes, du rassemblement de communautés d'internautes produisant des biens communs et de la notion d'intelligence collective. Bref, des valeurs fondatrices du web.

La plupart des grandes innovations du web sont parties de rien ou, pour être plus juste, de pas grand-chose. Elles ne sont pas issues de la recherche universitaire ni des laboratoires des grandes entreprises. Elles ne sont pas le fruit d'une vaste réflexion stratégique ni d'une rigoureuse analyse marketing des attentes des consommateurs. La plupart du temps, elles ont surgi sans que personne n'ait vu ni prévu quoi que ce soit. Et ceux qui ont amené ces innovations ne sont pas ceux que l'on attendait. L'innovation arrive, nous l'avons vu, de la périphérie. Cette spécificité nourrit la mythologie de l'entreprenariat numérique et son imaginaire du garage, du hoodie, des pizzas et de la start-up décontractée. Aussi faut-il observer attentivement la trajectoire des innovations numériques. D'abord, avec quelques exemples.
En 1990, un étudiant britannique passionné de cinéma quelque peu obsessionnel, Col Needham, crée des listes de films en indiquant pour chacun les acteurs, le metteur en scène, le décorateur, les accessoiristes, etc. Il décide de partager ces listes sur internet et, immédiatement, d'autres cinéphiles l'aident à les compléter ; les catégories de films s'étendent, les descriptions s'affinent, les groupes de contributeurs se spécialisent dans différentes cultures cinématographiques. L'Internet Movie Database (IMDb) est né. Ce site contributif est un des premiers immenses succès du web. Il sera racheté par Amazon en 1998.

2 colonnes : variante 2

2 colonnes : variante 2

Vous pouvez aussi m'utiliser de cette façon : image + texte en dessous dans chacune de mes colonnes.

Wikipédia est l'entreprise collective la plus audacieuse jamais réalisée à l'échelle du web. Miracle sociologique auquel personne ne croyait, l'encyclopédie en ligne offre un exemple parfait de bien commun, d'innovation ascendante et d'intelligence collective. La grande originalité de son fonctionnement est de permettre à une foule d'internautes de produire des contributions d'une qualité surprenante sans que l'on ait au préalable vérifié leurs compétences.

2 colonnes : variante 2

Pour la deuxième colonne

Lorsqu'il fonde Nupedia, future Wikipédia, en mars 2000, Jimmy Wales envisage de créer une encyclopédie gratuite de tous les savoirs en demandant à des experts de chaque domaine d'écrire des articles. Il confie à Larry Sanger, un jeune philosophe, la tâche de rassembler les articles, mais il apparaît très vite que les experts – à qui Sanger demande même de lui faxer leur diplôme de PhD pour vérifier leurs compétences – ne sont pas disposés à contribuer gratuitement. Au bout d'une année, Nupedia a rassemblé moins de vingt articles. Larry Sanger profite toutefois de cette période de collecte pour ouvrir, en janvier 2001, un site de discussion des articles à l'aide d'une technologie nouvelle, inventée par l'informaticien américain Ward Cunningham en 1995, le wiki.

Je suis la section accordéon fusionnable

Je peux servir pour plein d'usages :

  • structurer une page dense en texte => un accordéon par paragraphe ; le titre de chaque accordéon permet de faire des accroches intéressantes pour le lecteur
  • développer un format "question / réponse" => titre de l'accordéon = le titre ; son contenu, la réponse

Dans l'élaboration de vos pages, ayez à l'esprit qu'elles seront autant voire plus consultées depuis un smartphone que depuis un ordinateur portable ou de bureau.
La navgiation sur un smartphone se complique un peu au-delà du 3ème niveau d'arborescence.
Aussi il peut être opportun de "densifier" le contenu d'une rubrique dans une page plutôt que de trop la découper en sous-rubrique.
Opportunité d'autant plus facilitée que le débit internet n'est plus trop un problème et que nos doigts sont habitués à glisser sur les façades lisses de nos écrans portables.

Dans cette optique, moi la section accordéon fusionnable je suis votre alliée.
Pliée, je tiens peu de place. Mes titres proposent une grille de lecture à vos visiteurs, qui vont se prendre au jeu de l'ouverture / fermeture.

 

Je préfère que d'emblée il n'y ait pas de mal-entendu entre nous : je ne suis pas vraiment faite pour afficher des images.

C'est possible, mais ce n'est pas le meilleur rendu qu'il soit, en toute objectivité.

Je suis la section "onglet fusionnable"